Créé en 1992, le Comité local de développement de L’Anse-à-Valleau a été incorporé en février 1993. C’est dans un contexte difficile que le Comité local de développement de L’Anse-à-Valleau décide de faire revivre le site de Pointe-à-la-Renommée en rapatriant le phare et en l’intégrant dans un projet de développement récréotouristique. Ce phare autrefois abandonné, avait été relocalisé en 1977 à Québec, sur le site de la Garde côtière près du Quartier Petit Champlain.
En 1997, le phare était enfin de retour à Pointe-à-la-Renommée après un très long voyage. Pour les membres du comité, il s’agissait d’une victoire bien méritée. Le rapatriement de ce joyau patrimonial mit fin à un combat de cinq ans mené auprès des autorités de la Garde côtière canadienne.
Cette photo a été prise lors de notre épopée sur le SIA/IAT-Québec.
Crawford Depot, également connue sous le nom de Maine Central Passenger Railway Station, est une gare ferroviaire de passagers historique au sommet de Crawford Notch dans la région de Bretton Woods de la ville de Carroll, New Hampshire au coeur des White Mountains!
Samedi dernier je me suis rendu dans notre cour arrière, soit au Parc régional des Appalaches, plus précisément au mont Sugar Loaf. Ce sommet que j’ai foulé à plusieurs reprises, je me rappelle de la première fois en raquette. On avait emprunté le sentier par une cour arrière d’une résidence privée dans le 6e rang ouest, adjacent à la route des chutes. À travers les tubulures de l’érablière et dans la poudreuse à la taille; cette montagne m’avait marquée. Une vue imprenable tout près de chez moi! Je m’étais dit à ce moment que j’y reviendrais un jour! Après près plus de vingt visites; seul, en famille, avec mes amis, mes élèves, en hiver, au printemps, en été et en automne. J’ai savouré chaque visite et son goût est toujours aussi rafraîchissant fois après fois…Une expérience unique pour tous mes sens!
Toujours différent, d’une fois à l’autre
Revenons à samedi, parti par un matin frisquet mais accompagné par un soleil fidèle au poste. Plus que je montais dans les « hauts » ou vers le sud par la route 283 plus un ton de blanc s’imisçait dans le décor, un beau souvenir de mes premières années comme enseignant.
Parti du stationnement de la langue de chatte sur la route des chutes à Sainte-Lucie-de-Beauregard, j’ai emprunté le sentier du garde feu jusqu’au sommet du Sugar Loaf (650 m.) sur un tapis blanc qui donnait du charme à cette journée ensolleillée . Rendu au sommet la vue y était tout simplement sublime et le blanc donnait un cachet féérique au décor!
Une montée dans la blancheurVue du sommet!Le Sommet
Comme je voulais faire la boucle de 13 km, je suis revenu par le sentier #10 du pont du Brûlé et ensuite emprunté le #14 des castors. Une belle marche d’environ 4 heures à bon rythme, tout en prenant le temps de prendre quelques clichés car la luminosité était au rendez-vous pour se prêter à cet exercice. La difficulté du sentier est considéré comme intermédiaire, le sentier est escarpé dans les derniers mètres avant d’atteindre le sommet. Le retour est plutôt plat avec quelques petits valons. Mais bien plaisant à faire.
Je vous le recommande, le Sugar Loaf est un incontournable dans Chaudière-Appalaches.
Voici la carte du sentier pour vous donner une idée de qui vous attend:
Le sommet du Mont Sugar Loaf dans le Parc régional des Appalaches. Un parc qui gagne en popularité auprès des amateurs de randonnée! Le sommet y est tout simplement beau.
Un 8 novembre et un mercure qui oscille à 18°C, je me rappelle pas d’avoir vu cela de toute ma vie… Bref, je ne pouvait passer à côté de ce périple en montagne. Un sommet qui me trottait dans la tête depuis très longtemps! Quant à me rendre en Estrie au Parc national du Mont Mégantic, il fallait en avoir pour son argent, j’ai donc décidé d’en profiter et de m’attaquer à la boucle des trois sommets qui relie les monts Saint-Joseph, Victoria et Mégantic. D’une longueur de 15,8 km la boucle de niveau difficile est un incontournable pour les amateurs de montagne.
Dans un premier élan j’ai gravi le mont St-Joseph, sommet qui culmine à plus de 1 050 mètres. Départ du stationnement du secteur de l’observatoire (Notre-Dame-des-Bois), une belle montée où il y avait foule, et ce, jusqu’au sommet. Le parcours offre plusieurs points de vues intéressants et le sommet est très beau surplombant la région avoisinante. Après le dîner je me suis dirigé vers le mont Victoria (1 065 m.), un sommet boisé qui n’a aucune vue, en échange il propose aucune difficulté à le grimper.
Après quelques minutes de repos au sommet, je me suis dirigé vers le fameux Mégantic. Après une descente lente de 3,3 km vers le Col-des-Trois-Sommets, un carrefour vers différentes destinations du parc. Il était temps de se diriger vers les 1 110 mètres du Mont Mégantic, le point culminant du parc. Une montée de moins de trois km dans un sentier boueux dû à la fonte des neiges accumulées dernièrement. Au sommet, le soleil se préparait à se retirer pour la nuit, après quelques photos il fallait redescendre vers le stationnement. Une descente de 3,3 km qui s’est terminée à la frontale.
Cette journée de randonnée de novembre à saveur estivale à quelques semaines de Noël restera gravé dans les annales et aussi dans ma mémoire.
Cette semaine, je fais le frontispice du GR20 Blog, un blogue européen très intéressant qui fait des retours d’expérience de randonneurs du GR20. Chaque semaine Emeric interview un trekker qui a fait le mythique sentier de la Corse. Ce fut un réel plaisir de partager mon GR à la façon québécoise! Allez-y jeter un coup d’oeil, ça en vaut la peine!!!
La longue montée du Meru en Tanzanie dans le parc national d’Arusha. Il est le 2e plus haut sommet du pays qui culmine à plus de 4 565 mètres en altitude.
Depuis des lunes que je voulais fouler cette montagne de Ham-Sud en Estrie, si populaire auprès de la population randonneuse. Finalement, Dominic Arpin m’a convaincu, je suis allé me rendre compte pourquoi elle est si prisée. Premièrement, c’est une montagne accessible pour tous les niveaux de randonneurs, car plusieurs sentiers donnent accès au sommet, ce qui fait que les petites familles trouvent leur compte pour vivre une expérience nature positive. Rendu en au sommet, la vue du mont Ham est tout simplement sublime et surprenante. Vue imprenable sur les Appalaches entre autres le Mégantic, Oford, Adstock et le fameux mont Gosford. On aperçoit également le lac Nicolet à plus 713 mètres. Saviez-vous que le Mont Ham fait partie de la route des sommets? Moi, je l’ai appris, je ne connaissais pas l’existence de ce parcours qui m’intrigue…
Une panoplie sentiers sont à la disponibilité des marcheurs, pour ma première visite j’ai attaqué le sentier l’intrépide car selon la carte le dénivelé était intéressant, j’avais le goût d’avoir chaud et en avoir pour mon 8$ d’entrée. Après un passage obligé en forêt, un line-up aux cordes (que j’ai by passé) et quelques points de vus intéressants sur la région des Sources. Un 45 minutes de d’intensité qui en valait la peine avec un beau sommet et un vent frais des Cantons de l’Est. Pour revenir à la base j’ai emprunté le sentier Panoramique parce qu’il m’inspirait, son nom l’indiquait bien, oui, il y a deux à trois points de vus qui valaient le détour. Après 30 minutes de descente ma tournée du mont Ham étaient complété!
Le Parc régional du Mont Ham organise des journées thématiques; comme le camping au sommet, la randonnée de nuit en hiver et une fois par mois votre fidèle compagnon Fido est admis au parc. En tant que randonneur expérimenté, une visite en vaut le détour!!!
Pourquoi faire le mont Ham:
Pour la beauté de la montagne;
Pour l’esprit qui s’y dégage;
Pour la vue imprenable au sommet;
Pour le site bien aménagé, la propreté et l’entretien des sentier, certainement avec une bonne équipe de bénévole;
Pour les familles, monsieur et madame tout le monde;
Pour le comité qui travaille fort, très bien comme parc;
Le seul point négatif: trop de monde pour la personne sauvage que je suis, certains me diront d’y aller de bonne heure! La prochaine fois….