Thivierge rejoint un groupe sélect d’aventuriers

Après le pôle Sud il y a deux ans, François-Guy Thivierge a maintenant conquis l’autre extrémité du globe. Lundi, aux environs de 14 h, l’alpiniste de Saint-Ferréol a ajouté une autre réalisation à sa collection de grandes expéditions en posant ses skis sur le pôle Nord.

Cette énième aventure de Thivierge lui permet ainsi de rejoindre un groupe sélect d’aventuriers, dont Bernard Voyer, qui sont seulement une cinquantaine à avoir atteint le plus haut sommet de chacun des sept continents et les deux pôles.

«Ça s’est bien passé. Il a fait très froid. Il y a eu beaucoup de passages difficiles», résume-t-il dans un enregistrement audio disponible sur son site internet.

Arrivé dans ce coin inhospitalier de la planète sous le soleil, Thivierge a dû affronter des températures quotidiennes avoisinant les -25 °C, en plus de goûter à une tempête hivernale. Chaque journée était composée d’une sortie de 15 à 18 kilomètres en skis de fond, avec une charge de près de 55 kg dans le traîneau attaché derrière lui.

Thivierge a réussi l’exploit en compagnie de son équipe et du renommé guide belge Alain Hubert. Il a toutefois dû patienter deux journées de plus que prévu avant de concrétiser ses visées en raison de la construction d’un poste d’atterrissage à la base russe de Barnéo.

L’attente supplémentaire a valu la peine, car il dit repartir avec d’innombrables souvenirs en tête. «On a eu beaucoup de plaisir à regarder ces beaux paysages. Des milliers d’images qui représentent un paquet de choses, puis ça te permet aussi de faire le tour de ta vie en une semaine. Ç’a été un super beau voyage intérieur.»

François-Guy Thivierge rencontrera les médias le lundi 18 avril à 10hrs au Café de la Vie, 600 rue Bouvier, Québec. Lors de ce point de presse, l’aventurier racontera son expédition et répondra aux questions des journalistes.

 


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L’ascension de l’Everest en 3D

C’est la saison des expéditions vers le sommet du monde, voici un aperçu: 


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Véronique Denys attaque le toit du monde

 

Véronique Denys, expédition Mckinley 2009

Véronique Denys tente actuellement de gravir l’Everest, la plus haute montagne au monde. Elle pourrait ainsi devenir la 3e québécoise à accomplir ce défi. En ce moment, elle en route vers le camp de base un peu après Namche Bazar à environ 3400 mètres d’altitude. Deux sperpas l’accompagneront tout au long de son aventure : Pasang Dawa et Rinji.

Avant de s’élancer à la conquête de l’Everest, Mme Denys a commencé par des montagnes plus faciles pour progresser vers celles qui sont plus techniques. «L’Everest, c’est de l’alpinisme pur. J’ai fait d’autres montagnes qui peuvent s’apparenter comme le mont Mckinley. J’y suis allée de façon automne, pas de guide, pas de porteur. On était un groupe de quatre personnes, on avait tout notre matériel à transporter: 100 livres avec un toboggan et un pack-sack. C’est une expédition qui m’a plu et qui m’a préparée pour l’Everest», indique celle qui travaille comme avocate fiscaliste chez Raymond Chabot Grant Thornton.

Pour Véronique Denys, l’Everest, c’est une étape cruciale dans son projet de gravir les sept plus hauts sommets des sept continents. Après, il ne reste que deux autres sommets à aller chercher, le Vinson (Antarctique) et la Pyramide de Carstensz (Océanie). Ce qui anime le plus Véronique : aller au bout de soi-même et de ses rêves, découvrir, Vivre. Ces voyages l’auront menée dans près de 20 pays, sur chacun des continents (outre l’Antarctique), dans les endroits les plus reculés de la planète comme la jungle amazonienne et les déserts d’Afrique. En 2004, Véronique atteint le camp de base de l’Everest, à plus de 5000 mètres, et y fait une promesse, celle d’y retourner un jour pour tenter l’ascension jusqu’au sommet. Sept ans plus tard, en 2011, cette promesse est tenue. Une aventure à suivre!!!

Carte de l’expédition Everest 2011 de Véronique Denys


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Cercle de feu du Pacifique à vélo…boucler la boucle! Étape 3: Jakarta/Vancouver.

Janick Lemieux et Pierre Bouchard, de Québec, sillonnent la planète sur leurs vélos de montagne depuis près de 20 ans.  Leur projet a débuté en 1999 et consiste à pédaler d’un volcan actif à l’autre autour du Pacifique, en suivant le Cercle de feu. Après leur dernière étape, de Vancouver aux îles Aléoutiennes en Alaska en passant par Hawaii, ils ont parcouru 70 000 km.
J’ai assisté à leur dernière conférence  de la cyclovolcanique il y a quelques années et ils m’avaient conquis, du pur bonbon. Des images à couper le souffle accompagnées de comentaires très intéressant qui font rêver l’aventurier en nous. Voici les prochaines dates de leurs conférences:
samedi 26 mars 2011 à 14h00 et 19h30: salle multi complexe Méduse. Québec.
Billets: boutique Le Pédalier (418.842.2734) et magasin MEC de Québec (418.522.8884)

mercredi 30 mars 2011 à 19h30: Théâtre Hector-Charland. L’Assomption.
Info et billets: 450.589.9198

mardi 5 avril 2011 à 17h00: gymnase cégep régional de Lanaudière. Terrebonne.
Info: info@cyclovolcanique.com

mercredi 13 avril 2011 à 19h30: auditorium du cégep de Sept-Îles. Sept-Îles.
Info: 418.962.9848 #262

vendredi 15 avril 2011 à 19h30: Pavillon Mance. Baie-Comeau.
Info et billets: boutique Spin sports & plein air (418.296.8282) et membres C.A. Corportation Véloroute des Baleines (418.297.4342)


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Un Gaspésien frôle la mort sur l’Aconcagua

Le voyage d’un jeune de 18 ans de Sainte-Anne-des-Monts, Marc-Antoine Charlebois, a failli lui coûter la vie. Il grimpait seul sur le mont Aconcagua lorsqu’il a été victime d’un oedème pulmonaire. Un guide qui s’est retrouvé sur son chemin lui a sauvé la vie.

Marc-Antoine Charlebois voulait devenir le plus jeune grimpeur à atteindre le plus haut sommet des Amériques, à près de 7000 mètres d’altitude, mais rendu à 4000 mètres, son rêve a basculé. « Je suis parti le matin, tout allait bien, j’ai marché plusieurs heures, puis tout s’est passé dans environ une demi-heure », raconte-t-il.

Il poursuit en disant que lorsque son état s’est dégradé, il a senti que l’air se faisait rare et que sa coordination lui semblait presque impossible.

C’est à ce moment que le guide d’un autre groupe l’a trouvé. « Il a monté ma tente et m’a mis à l’abri parce qu’il y a de gros vents qui se sont levés », se rappelle-t-il.

Après quelques heures d’attente, une équipe médicale l’a pris en charge. « On m’a injecté de l’adrénaline, c’est ce qui m’a sauvé la vie. J’ai eu un suivi dans un centre médical spécialisé où on a confirmé que j’avais de l’eau sur les poumons. »

Ses parents étaient chez eux, à La Martre, lorsqu’ils ont appris la nouvelle. Son père, Benoît, dit avoir vécu de vives émotions. « On peut dire qu’on devient stressé. Le facteur le plus difficile, c’est la distance. On se sent un petit peu impuissant. »

Marc-Antoine croit qu’il a voulu grimper trop rapidement à une altitude où l’oxygène se fait plus rare. Il n’exclut pas la possibilité de revivre l’expérience un jour.

Pour en apprendre davantage sur cette expédition, écoutez l’entrevue de Marc-Antoine Charlebois à l’émission Bon pied, bonne heure avec Yves Larouche.


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Destination Cap Gaspé: Reportage photos

Reportage photos sur notre randonnée de 650 km de Matapédia à Cap Gaspé sur le SIA Québec en Gaspésie.


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Destination Cap Gaspé

Sac au dos dans le SIA Québec, voici nos impressions sur le  Mont Saint-Pierre


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Rémi Lafrenière a atteint Ushuaia

Après avoir roulé 32 178 km depuis le 22 mai, le cycliste extrême Rémi Lafrenière, de Québec, a finalement atteint la ville d’Ushuaia, dans la province argentine de la Terre de Feu, vendredi soir, et se remettra aujourd’hui en route afin de compléter son périple des quatre points les plus extrêmes des Amériques atteignables par la route.

Après avoir roulé cet été jusqu’à Prudhoe Bay, en Alaska, le point le plus au nord des Amériques atteignable par la route, et à Anchor Point, toujours dans le même état américain, le point le plus à l’ouest, le cycliste de 26 ans avait filé vers le sud en direction d’Ushuaia, la ville la plus méridionale au monde.

Jusqu’à maintenant, celui qui occupe un emploi de plombier à Québec considère que le Pérou aura été la partie la plus pénible de sa folle odyssée. «Les côtes sont difficiles, il n’y a aucun agrément, il y a des chiens partout qui te courent après et te mordent et il est très difficile de les éloigner. Il y a aussi du vent qui soulève le sable, beaucoup de pollution et la nourriture n’est pas très bonne.»

Les Péruviens seraient également très peu courtois envers les cyclistes. «Les autobus, les camionneurs et les automobilistes ne veulent pas te voir sur la route et ils te le font savoir en te poussant», enchaîne-t-il.

Rémi doit maintenant compléter le carré en se rendant à Joao Pessoa, au Brésil, la ville la plus à l’est des Amériques, pour ensuite rouler vers le Québec. Rémi roule environ 200 km par jour mais ne s’est pas fixé de date pour son entrée à Joao Pessoa.

C’est la conjointe de Rémi, Geneviève Désy, qui met son site Web remilafreniere.com à jour pendant qu’il pédale aux quatre coins du continent. «Elle m’aide et m’encourage beaucoup! Je lui envoie des messages aux deux ou trois jours et je lui parle au moins une fois par semaine», conclut l’athlète de la capitale.

Bon retour à cette machine humaine qui prouve que le rêve est accessible. Rémi Lafrenière parcourt les Amériques au profit de la Fondation de l’autisme.

Source: Le Soleil


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Rémi Lafrenière – Extrêmement Amériques

Extrêmement Amériques » consiste en une expédition à vélo, en solo, qui a débuté le 22 mai dernier. Rémi La frenière est parti de Joliette, au Québec, pour se rendre en Alaska pour atteindre le point le plus au nord des Amériques atteignable par la route, situé à Prudhoe Bay et le point le plus à l’ouest, Anchor Point. L’étape suivante : joindre le point le plus au sud des Amériques, situé en Argentine à Ushuaia, route et ville réputées les plus septentrionales du monde! Le voyage se poursuivra vers João Pessao au Brésil, point le plus à l’est. Finalement, il complètera la boucle de ce voyage de 65 000 km en revenant à Joliette à vélo.

« Extrêmement Amériques » sera un périple sans égal! Imaginez : 65 000 km parcourus, 23 pays continentaux visités, 365 jours à vélo, le tout, en autonomie! C’est donc dire que Rémi ne sera pas suivi par une équipe d’assistance, il sera seul avec son vélo et devra, comme il l’a toujours fait, transporter lui-même son équipement tout au long du voyage. Ainsi, il devra vivre avec des moyens élémentaires et affronter des conditions extrêmes dans plusieurs segments de son périple. Tout ceci sans tenir compte des barrières linguistiques, des instabilités politiques, des conditions routières, de la faune, de la flore et de la criminalité, facteurs les plus préoccupants pour Rémi et le plaçant en situation d’insécurité totale.

Voici son départ:

Depuis son départ il a plus de 3 ooo km de pédalé et il est rendu en Alaska vers le point le plus au nord. On peut même le suivre en direct par GPS.

Pour suivre son périple incroyable:

RémiLafreniere.com

Le Blog de Rémi

La Page Facebook Rémi Lafrenière-Extrêmement Amériques

Sur Twitter: Remivélo

Voir ses vidéos sur Youtube

 


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Évasion cherche famille de campeurs

 Vous êtes mordus de CAMPING RUSTIQUE et vous avez un mois de vacances l’été prochain ?

Sogestalt Médias est à la recherche d’une famille (un couple avec au moins deux enfants âgés entre 7 et 15 ans) pour participer au tournage d’une série documentaire sur le camping au Québec, destinée à Canal Évasion.

Venez camper dans les parcs nationaux de la SEPAQ  aux frais de Sogestalt Médias.

Critères :

  • Souplesse et disponibilité
  • Facilité de (bien !) s’exprimer et de rester naturel devant la caméra
  • Goût de découvrir les parcs nationaux du Québec, par le biais du camping et de participer aux nombreuses activités proposées

Pour plus de détails et pré-entrevue téléphonique, prière de communiquer d’ici le 15 avril 2010 avec Jenny Tessier au 514-526-7090, poste 6305, ou Céline Johnson au 514-526-7090, poste 6308.